Votre lettre de Nouvelle-France...

eile tout le monde...quand vous aurez fini vot' lettre, mettez la ici...on va comparer la vie de tout le monde...

JAI FIIINIIIIII pi faut ke jla mette?...ok ^^
mais rier pas la...c genre...full moche en tk


Chère cousine,





Ma vie en Nouvelle-France est une vraie aventure. Les couloirs sombres et froids de la Salpetrière ne me manquent guère mais ne plus t’avoir à mes côtés pour échanger secrets et inquiétudes me cause un énorme chagrin. Mon histoire commence il y a quatre ans, par un matin grisâtre du mois d’avril. J’ai été embarqué de force sur un navire rempli de jeunes filles qui avaient tout comme moi pour seul bagage un trousseau arborant le sceau royal. Nous étions au moins une centaine, cela sans compter les marins et les soldats qui nous accompagnaient en Nouvelle-France. Nouvelle-France, le simple fait de prononcer le nom de cette terre inconnue me donnait des frissons. Mais mon devoir en tant que fille du Roy m’obligeait à y aller et y prendre mari. La traversée dura trois mois. Trois mois à être balloté de tout les sens, vomissant à chaque soubresaut que le navire effectuait. Étant perpétuellement en contact avec les matelots et les soldats, nous avions donc aucune intimité. Marie, une jeune fille avec qui je me lia d’amitié, faillit se faire se faire déshonoré à deux reprises. Même si les religieuses nous surveillaient ardemment, plusieurs filles faillirent perdre leur pureté. C’est dans une atmosphère tendu et pleine de peur qu’on accosta enfin en Nouvelle-France. Heureuse de pouvoir sentir la terre ferme sous mes pieds, j’oubliai mon rang et embrassa le sol, remerciant le seigneur de m’avoir protégé. Une religieuse vint me chercher pour me remettre dans la file. Une foule de gens étaient venu nous voir et je vis que certains hommes avaient déjà fait leur choix, emmenant mes compagnes de voyage. Moi, j’étais déjà promise, mais j’ignorais l’identité de mon futur mari. Une fois arrivé au couvent, je remis une lettre à Mère Marie de l’Incarnation qui contenait des informations sur mon promis. Je n’oublierais jamais le regard qu’elle me donna ce jour là. Un regard plein de compassion pour une jeune fille de seize ans qui quittait son pays natal pour un parfait inconnu. On me fit amener un cheval et une escorte de deux soldats. Le soir de mon arriver en Nouvelle-France je rencontrai mon promis et me maria dans la petite chapelle privé du manoir, au cœur de la forêt canadienne. J’étais devenu la femme du seigneur Aurélien le Bourbais. Je porterais le nom de le Bourbais pour l’éternité, en enfer ou aux cieux.



Mon mari est un homme fier et bon, et il entretenait sa seigneurie comme sa femme, avec amour et justice. Une semaine après mon mariage je devins grosse. Neuf mois plus tard, au beau milieu de l’hiver naquit un joli garçon aux cheveux noir comme l’ébène et aux yeux aussi bleu que le saphir que je porte a mon cou. Il ressemblait tant à Aurélien que je le prénommai Jean-Aurélien. L’intendant Jean Talon nous visitait souvent car il était un grand ami à Aurélien. Il assista même au baptême de notre fils. C’est un homme très gentil et il ne manquait pas une occasion de venir gâter Jean-Aurélien.

Un bon lien avec l’état était donc assuré. Mais celui avec l’Église laissait a désiré. Lorsque Jean-Aurélien tomba malade, tous les moyens de guérison d’ordre religieuse ne furent d’aucun secoure. Alors, je suis allé voir une vieille iroquoise qui confectionnait des pommades et des sirops qui guérissait tout les maux. Ma visite ne se fit pas sans témoins et le lendemain tout le monde eu vent de cette rencontre. Le curé me soupçonna de sorcellerie pendant plusieurs mois et durant se lapse de temps je fus banni de l’église. Une chance qu’il y avait la petite chapelle du manoir car je pu continuer de me confesser. Aujourd’hui les rumeurs ne sont plus mais la tension est palpable entre le curé et moi. Un an après Jean-Aurélien, une autre tête vint s’ajouter a la famille. Fleur est une petite fille qui adore son père et on la voit souvent dans ses bras. L’indienne qui joue le rôle de nounou lui a offert une poupée fabriqué par elle-même et depuis se jour elle ne s’en sépare plus. À son premier Noël elle eut une petite sœur. Alizé est ma copie conforme. Même cheveux blond même regard perçant, elle pétille déjà. Je suis très choyé de la vie, l’amour en Nouvelle-France est une chose immensément rare, et de l’avoir trouver me comble de bonheur. Une semaine avant d’écrire cette lettre, j’eus des jumeaux, Thomas et William et je t’en fais leur marraine. J’espère que tu as trouvé le bonheur car je ne veux pas être la seul.

Ta cousine adorée,



Amandine le Bourbais

je sais la fin est un peu crap mais....je depassais 700 mots au deuxieme paragraphe alors :s

J'ai la flemme et j'avais 1200 mots a la fin fallu que jcoupe...

oua je vous commprend...g le meme problème

^^ on a tous le meme probleme lol

voila ma lettre...

Nouvelle-France, Québec, ans de grâce 1670


Ma chère Geneviève,
Cela fait déjà quatre ans que je vous ai quittés toi et ma famille. Je t’écris pour te faire part de mon récit de jeune provençale partie peupler le nouveau monde.
Le voyage vers cette terre inconnue m’avait effrayée au début. Mais aujourd’hui, je ne regrette nullement mon audace.
Tu te rappelles sûrement qu’il y a quatre ans, j’avais décidé de m’embarquer comme fille du Roy, épargnant ainsi à mes parents trop pauvres la honte d’avoir une fille sans dot.
Après avoir traverser presque toute la France, nous arrivâmes à La Rochelle. Ce fut dans ce port que nous fûmes logés, moi et une centaine d’autres filles à marier. Loger! C’est un bien grand mot car les auberges étaient bien pires que la masure où nous vivions, là-bas en Provence.
Après une attente interminable, le bateau fut près à appareiller. Nous nous installâmes dans la cale du navire tout aussi insalubre et surpeuplée que les auberges de La Rochelle.
Ce fut sur ce rafiot craquant que je connus Anne Julie Dubreuille.
Du haut de mes seize ans, j’étais une des plus jeunes et le voyage, il faut bien l’avouer, m’angoissais un peu. Je trouva en Anne Julie une amie, une confidente, une grande sœur.
Puis, quarante jours plus tard, nous aperçûmes enfin la Nouvelle-France. Pays des trappeurs et des fourrures; pays des redoutables iroquois et de l’hiver; nature sauvage encore indomptée qui allait devenir sous peu ma terre d’adoption même si au fond, je resterais toujours française.
Après deux jours de voyage sur le fleuve, une ville fortifiée nous apparut perchée sur un cap : Québec.
Nous accostâmes puis, m’arrangeant comme je put, je descendis la première du navire. Des yeux avides me scrutaient mais moi, je n’avais d’yeux que pour la forêt qui offrait tous les contrastes de jaune, de rouge, d’oranger…Hélas! Je me pris les pieds dans ma jupe trop longue et atterris à plat ventre devant ces canadiens qui éclatèrent de rire. Il fallait bien que ta cousine se fasse remarquer la première fois qu’elle débarquait en Nouvelle-France!
Un jeune homme se précipita vers moi et m’aida à me relever. Je levai la tête afin de le remercier mais je fut clouer sur place par un regard aussi bleu que le ciel d’été de ma lointaine Provence.
Il me demanda si je m’étais blessée. Je me repris, éclata de rire et lui répondis que seul mon orgueil en avait pris un coup. Il rit à son tour et me présenta son bras. Il s’appelait François Beaulieux et avait dix-huit ans. Il venait d’hériter du commerce de poterie de son père et était venu ici pour trouver une épouse.
Les filles du Roy n’avaient que quinze jours pour chercher un mari. Moi, je savais que je l’avais déjà trouvé.
Sept jours plus tard, nous nous mariâmes et d’Isabelle Leblanc, je passa à Isabelle Beaulieux. J’emménagea avec mes effets et le trousseau de toute fille du Roy dans la maison de mon nouvel époux,
L’année suivante, Gabriel vint au monde suivi d’Alizée, puis de deux jumeaux Thomas et Marie. Tous les matins, j’emmène Gabriel au couvent, chez Sœur Julie qui tient une petite école. Alizée, Thomas et Marie le rejoindront dans quelques années.
L’Église occupe une place très importante ici. Elle s’occupe des soins, de l’éducation des enfants et des pupilles du Roy ainsi que leurs obligations habituelles. Nous allons à la messe tous les dimanches. Le curé, lui, ne porte pas dans son cœur à la suite de plusieurs veillées organisées chez nous.
L’État, quant à lui, est dirigé par le gouverneur Frontenac et l’intendant Talon. J’ai moi-même rencontrer Frontenac à plusieurs reprise et c’est un homme plein d’enthousiasme.
Chaque année, nous devons payer une taxe et des impôts mais cela n’est pas un problème car notre commerce est plutôt florissant.
Dans les premières années de François dans la poterie, nous pourvoyions au magasin général de Véronique Lafrance nos produits. Mais depuis, nous nous sommes affilier avec Simon Boivin et sa femme qui sont aussi potiers. D’ailleurs, tous les dimanches après la messe, nous nous retrouvons, la famille Boivin, Pelland et Lafrance autour d’un bon déjeuner.
Le potager derrière notre maison nous fournit notre manger quotidien en légumes et en fruit. Le magasin général du coin fournit le reste.
J’ai tout ce qu’il faut pour vivre heureuse en Nouvelle-France, entourer de mes amis, de mes enfants et de mon mari. Seule ta présence rafraîchissante et tes douces paroles me manquent ici, au nouveau monde.

Sache, Geneviève que je pense souvent à toi et que tu resteras éternellement dans mon cœur.


De ta cousine,
Isabelle Leblanc Beaulieux

waoouuhhh.....c zolie dou!!! ^^ ou isabelle lol

lol...appelle mwa commme tu veu...

oki ^^

Ok ma cocotte

OUAH! jé psa lu mais je suis sur que c bon hihihi ^o^

YEAH DOUNIA!!!!!!!!! TA PRIS MON NOM DE FAMILLE
GRRRRRRRRRRR !!!
loool joke

jvais prendre ta date moi...paske la je trouve pas et c a rendre demain ^^

lol...pas de problémes...pi audrey g pris ton nom pcq je T'admire... ...

loll

OOOOHH dounia t trop fineuh je t'aime ^o^
<3<3

arke moi ma lettre veut meme pas ouvrir... jva etre obligée de toute la recommencer -__- caliss de contraintes à merde si y'en aurait pas eu j'aurais pas eu de problèmes pi j'aurais remis ma lettre

ca c chiant en maudit

mouais......mais fallait s'y attendre ^^

c mme thivierge quand même ^^

on parle pas du travail, on parle que ma lettre veut pas ouvrir -__-

je sais lire kan meme *pfff*

Bah moua j'ai finalement fini ma lettre.. Hi hi.. après un dur labeur [Joke]. Voici ma lettre de kek 652 mots.

Nouvelle-France
An de grâce
15 août 1674

Ma chère Amandine, cela faisait un moment que je n’avais pas eu de tes nouvelles. Comme le temps passe vite. Je suis maintenant mariée depuis près de 3 ans avec un homme fabuleux.

Nous nous sommes rencontrés hasardement sur la place publique de notre petit village, non loin de Québec. Il s’appelle Guillaume Racine, l’aîné d’une petite famille comme la mienne, tu sais.. il te plairait aussi. Il est plutôt grand, ses cheveux châtains ondulent sur ses épaules, il est très doux, un peu comme un agneau, et il est un merveilleux père. Après notre mariage, mon père nous a aidés à trouver une propriété près de la sienne. La maison est encore mieux que je l’espérais, il y a des fenêtres avec des volets, un petit grenier et je crois bien que le poêle à bois nous réchauffera grandement durant l’hiver. Contrairement à la plupart des couples, Guillaume et moi n’avons pas beaucoup d’années de différence. J’ai 19 ans et lui est âgé de 23 ans.

Depuis un an, nous avons ouvert une boulangerie, il n’y en a que deux au village. Toute la semaine Guillaume et moi sommes affairés à travailler là-bas. Puisqu’en Nouvelle-France la pain est généralement la base de l’alimentation, nous somme bien en demande. Alors nous fournissons du pain et des pâtisseries à tous les habitants et, bien évidemment, à l’église aussi.

J’ai donné naissance à mon fils, Pierre-Olivier, au printemps passé, le quatre avril. Il est en santé et ressemble grandement à son père. L’accouchement n’a pas été si terrible comparé à tout ce que disaient les femmes du village. Nous l’avons emmené à l’église pour le faire baptiser environ un mois après. La cérémonie était plutôt bien, plusieurs personnes s’était même déplacées. Depuis l’année dernière, Pierre-Oliver a grandi, il n’est encore qu’un très jeune bébé, mais il apprend vite. Guillaume l’a emmené, à plus d’une reprise, voir le fleuve Saint-Laurent et lui montrer la richesse du paysage qui nous entoure. Ici, il y a une si grande diversité dans la flore et la faune.

Monseigneur de Laval a instauré, en 1663, la dîme. Au fond, cela consiste à donner un certain pourcentage de nos revenus à notre paroisse pour assurer la subsistance du clergé et de l’église. En Nouvelle-France, l’église est une autorité morale autant que politique. Guillaume et moi allons à l’église, les dimanches, pour la messe comme tous les villageois. C’est aussi un jour où l’on discute avec les gens en parlant du travail, des dernières nouvelles.. de notre vie en général. Depuis que l’intendant Jean Talon est arrivé en tant que représentant du gouvernement royal, c’est lui qui est en charge de la justice, de l’administration et des finances. Il fait en sorte que notre Colonie se développe d’elle-même tout en gardant un lien avec la France.

Mes journées sont bien remplies, tous les matins je prépare un bon déjeuner pour mes deux hommes. Je travaille un jour sur deux à la boulangerie pour m’occuper de Pierre-Oliver et aussi parce que je crois bien que j’en attends un autre. Nous sommes tous excités à cette idée. Lorsque je vais à la boulangerie avec Guillaume, j’emmène notre fils passer la journée avec nous. C’est drôle de le voir aller, il veut toucher à tout.. un petit curieux. Bien souvent il est si épuisé qu’il s’endort dans mes bras quand nous revenons à la maison. Les récoltes de mon père s’en viennent bien pour l’hier qui approche tranquillement. Mon grand frère est lui aussi devenu censitaire.. avec une belle femme. Son terrain est peut-être plus petit que notre père mais il y a de quoi nourrir.

Toute la famille te salue et espère que la vie va de bon train, là-bas, en France. Personnellement, j’ai bien hâte de connaître les nouvelles modes et que tu me parles de ton été.

Ta très chère cousine Marie-Angeline
Je pense grandement à toi, bon anniversaire à l’avance.

bein...les notes sont sur pluriweb tout le monde!!!!

OUAH! c vrai! chu pas encore allé voir -___-

moi g u 16 sur 20 sa fait 80% chu fouleeeee contente!!!!!!!!!!!!!!