Life, sweet as sugar...

Lol Djoua le truc du hamster...XD
Merci beaucoup de lire ma fic!! ET surtout d'y répondre...voici donc le chapitre 7!

Chapitre 7

Généralement dans la pension Sorachi, les élèves doivent partir la fin de semaine. Les premières fois, la pension laisse rester les élèves pour s’habituer. Kitsune aurait pu rentrer chez elle mais ce samedi avait été différent puisqu’elle était allée chez Nox et Shade pour écouter le groupe. En rentrant à la pension, son père était là comme prévu et elle salua ses amis avant de partir pour chez elle. Le dimanche, alors qu’elle s’ennuyait dans sa chambre à faire ses abominables devoirs, quelque chose frappa sa fenêtre avec un petit bruit. Étonnée, elle releva la tête. Un petit caillou vint à nouveau frapper la vitre. Elle se leva de son bureau et alla ouvrir la fenêtre. Elle vit Satoshi qui s’apprêtait à lancer une autre petite roche mais il arrêta son geste. Il sourit et la salua de la main.

-Ça va ? Je te dérange, peut-être ? dit-il d’en bas.

Kitsune regarda son devoir qui traînait sur le bureau puis elle revint à Satoshi.

-Non, pas du tout ! dit-elle en souriant.

-Je me suis dit qu’on pourrait faire quelque chose, si tu veux…

-Bouge pas, j’arrive !

Il haussa les épaules. Elle ferma sa fenêtre et se retourna. Attrapant son manteau, elle dévala les escaliers en courant.

-Je vais me changer les idées, à plus tard ! cria-t-elle à l’intention de son père.

Et VLAM ! La porte fermée d’un coup sec, elle était déjà partie. Ils allèrent voir un film (un classique quoi…). Plus tard, elle et Satoshi flânèrent un moment à discuter. Ils firent un détour vers le parc. Satoshi disait qu’il fallait profiter de l’automne et des fleurs pendant qu’elle était encore accrochée aux arbres. Le parc était vide, ce qui était surprenant. Kitsune gambada dans l’allé tapissée de fleurs. Un coup de vent s’engouffra dans son manteau, la faisant frissonner. Un autre balaya les fleurs et les fit virevolter dans les airs en une danse enchanteresse. Satoshi regarda Kitsune s’amuser à attraper les fleurs au vol. Puis, elle s’arrêta et se retourna pour voir qu’il la fixait. Elle courut jusqu’à lui et l’entraîna de force dans sa danse, les fleurs volant autour d’eux. Elle tourna sur elle-même, glissa et tomba sur Satoshi qui la suivait en arrière. Elle éclata de rire et Satoshi aussi. Puis, elle se retourna. Leurs visages étaient si proches. Kitsune sentit le rythme de son cœur s’accélérer et ses joues s’enflammer alors qu’elle devenait rouge comme une pivoine. FLAP, FLAP ! Un brusque envol d’oiseaux la fit sursauter et tous deux levèrent la tête vers le ciel. Satoshi se leva et aida Kitsune à en faire autant. Ils quittèrent le parc et Satoshi raccompagna Kitsune chez elle pour ensuite continuer son chemin. Il la salua de la main et elle le regarda s’éloigner jusqu’à ce qu’il tourne le coin et disparaisse. Elle se sentait toute drôle lorsqu’elle rentra et elle n’avait pas la tête aux devoirs d’histoire. Le soir même, elle partit de nouveau pour la pension à son grand plaisir. Chokoreto se jeta sur elle et lui fit un gros colleux même si ça ne faisait seulement q’une journée qu’elles ne s’étaient pas vues. Kitsune trouva Kukkii à une table, un verre à la main.

-Salut ! Ça va ?

-Ouais…dit-il avant de boire une gorgée.

-T’as passé une bonne fin de semaine ? demanda-t-elle.

-D’enfer…répondit-il avec un demi-sourire.

-Y’a quelque chose qui va pas ?

-Non, y’a rien…

Il vida le reste du verre d’une traite et le reposa sur la table avant de se lever.

-Je vais me coucher, je suis fatigué, dit-il en s’en allant.

Kitsune resta perplexe. Puis, par curiosité, elle approcha le verre de son nez. Elle fronça les sourcils en reconnaissant la forte odeur, l’odeur de l’alcool. Elle reposa le verre et alla se coucher elle aussi, pensive. Elle se rappela ensuite la journée qu’elle venait de passer, Satoshi et le parc et elle trouva ainsi rapidement le sommeil.

Trop kawaï! hey Jass vive les *parcs*! lol

Tadaaaaaaa! le chapitre 8 les amies!
Pfff...c'est vraim...jvais donner un break à mon pauvre petit hamster sinon j'aurai le bruit de la roue toute la nuit...allez bon, assez parlé! bonne lecture!

Chapitre 8

-Quoi ?! Y’a une erreur ! s’exclama Kitsune, sentant la panique la gagner.

-Non, mademoiselle, rétorqua Mme Thirille, Vous avez bien une retenue.

-Mais…Mais, j’étais sûre d’avoir mon devoir ! Je l’ai fait hier…

C’est alors qu’elle se souvint qu’elle n’avait effectivement pas fait son devoir d’histoire la veille. Elle avait complètement oublié le devoir avec la sortie de Satoshi.

-Ah non…c’est terrible, murmura-t-elle, J’aime pas l’histoire en plus…

-Bah au moins, c’est seulement 30 minutes, l’encouragea Kimiko, sa voisine de bureau.

-Beuh…se plaignit-elle en signant le billet vert.

-Ce sera ce soir ou demain, mademoiselle Hikari ? demanda sèchement Mme Thirille comme s’il lui plaisait d’avoir enfin attrapée une élève en retenue.

-Ce soir, grommela Kitsune avant de murmurer, Vieille chouette…

* * *

Lorsque Kitsune sortit après sa retenue, vers 4h de l’après-midi, elle fut surprise de trouver Kukkii, assit dans les marches d’escaliers de l’école.

-Ah…Salut ! dit-il.

-Qu’est-ce que tu fais là ? demanda Kitsune.

-Ben, Chips m’a dit que t’avais une retenue et j’ai décidé de t’attendre…

-Merci ! C’est gentil de ta part, dit-elle.

Ils prirent le chemin habituel pour rentrer.

-Qu’est-ce que t’avais ? demanda-t-il au bout d’un moment.

-J’ai pas fait mon devoir en histoire. C’est l’horreur, il fallait que je fasse un texte sur le sens des responsabilités, non mais ! Bien sûr, je l’ai pas fini ce texte mais ça c’est pas mon problème.

-Ouais…

Ils continuèrent en silence jusqu’à la pension. Elle monta ensuite à sa chambre et s’assura qu’elle fasse tous ses devoirs jusqu’au dernier. Puis, épuisée cérébralement (hey, un nouveau mot !), elle se laissa tomber sur son lit en soupirant. Elle regarda son cadran. 8h15. Elle se leva et alla prendre sa douche (qui se trouve à côté des jardins). Sortant à nouveau dans les jardins vêtue d’une robe de nuit, elle aperçut une ombre grimper sur le toit. Intriguée, elle la suivit grimpant dans un cerisier puis sur le toit. S’approchant prudemment, elle distingua une forme familière assise sur le bord, regardant les étoiles.

-Santso ? appela-t-elle.

Il se retourna.

-Ha ha…je vois qu’on a découvert mon secret, dit-il amusé.
-Tu faisais tout le temps ça avant, corrigea-t-elle en souriant.

Elle s’assit à côté de lui et leva elle aussi les yeux vers le firmament. Cette nappe sombre parsemée de petites lumières. Et il y a la Lune, lueur argentée perçant la noirceur de la nuit. Il y eut un long moment de silence. Un vent frais vint se glisser dans les cheveux de Kitsune. Elle regarda une dernière fois le ciel étoilé d’automne puis décida de rentrer. Elle se leva lentement, le toit étant en pente des deux côtés, et commença à avancer en tentant de s’équilibrer avec ses bras. Satoshi suivait derrière, inquiet. Et avec raisons puisqu’elle n’avait pas fait 3 pas qu’elle glissa sur une tuile et perdit pied.

-Kyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah, cria-t-elle.

Satoshi se mit à plat ventre et attrapa sa main de justesse. Mais, contrairement à ce qu’il l’avait espéré, il tomba plutôt avec elle. Boom ! Les voilà tout les deux en bas du toit.

-Aïe, aïe, aïe…se plaignit Kitsune.

Satoshi se redressa sur ses coudes.

-Rien de cassé ? demanda-t-il.

-N…non, ça va…toi ?

-Mouais…mais ça pourrait être mieux, grommela Satoshi.

Ils rirent ensemble et se levèrent en secouant la poussière de tuile sur leurs vêtements. Puis, ils rassurèrent ceux qui s’étaient rassemblés par le cri que personne n’était blessé finalement.

Wow jass quel imagination!
Mme Thivierge = Mme Thirille
Et je suis d'accord ac Kitsune c'est vraiment poche comme retenue je déteste l'histoire! Grrrrrr... (Moi non plus j'ai po fini mon texte)

ha check lautre ^^

mon dieu Jass, t'as vraiment pas grand chose à faire de tes fds pour sortir autant de chapitre... cpas comme les autres hen... ali... bon c'tencore acceptable... masi raphy dou et maude... tsé pour genre... 2 semaines... c'est looooooonnnngggg -__-

ah la la -.- djoua


c bon jass ^^

Y voilou! un autre chapitre...

Chapitre 9

-Ah…je suis fatiguée…soupira Kitsune en rentrant de l’école.

Pourtant, il n’était que mardi. En entrant dans le salon de l’appartement, elle n’y trouva personne. Normalement, Tenshi y serait sur le sofa en train de lire un livre et Chokoreto ferait ses devoirs sur la table. Elle trouva une note :

Je ne serai pas là pour le souper, ne m’attendez pas.
Je travaille plus tôt aujourd’hui pour le Café Mew Mew.
À plus tard !
Chips -xxx-

-Ah…Tant pis ! se dit Kitsune.

Puis, elle se dirigea vers la chambre de Kukkii, déposant son sac sur le divan.

-Kukkii ? T’es là ? appela-t-elle.

-Derrière toi.

-Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! sursauta Kitsune.
Kukkii se tenait effectivement derrière Kitsune ; il avait reculé, étonné de sa réaction. Elle avait plaqué sa main sur son cœur et tentait de se calmer.

-Ne refais jamais ça, articula-t-elle lentement, J’ai failli faire une crise cardiaque.

-Relax…C’est que moi.

Puis, il eut un sourire narquois.

-Quoique, c’est plutôt amusant.

-Amusant ?! Alors tu trouves que je ris, moi ?! s’offusqua Kitsune.

Kukkii sourit de plus belle, puis Kitsune se détendit et sourit à son tour.

-Je me vengerai, promit-elle, malicieuse.

-Ouh, j’ai peur ! feigna Kukkii.

-La ferme, dit Kitsune en riant.

Kukkii se retourna et alla chercher sa guitare dans sa chambre.

-Y’a personne, on pourrait pratiquer ? proposa Kukkii.

Kitsune approuva et prit la basse qu’elle avait placée à côté de son lit mais n’y avait pas touché depuis qu’elle l’avait avec elle. Kitsune s’assit sur son lit et Kukkii prit place à côté d’elle en déposant sa guitare. Kitsune plaça ses mains sur les cordes et essaya. Fausse note. Elle grinça des dents. Kukkii sourit puis se plaça derrière elle. Il mit ses mains sur les siennes et lui glissa les mains sur les cordes pour qu’elle si retrouve ensuite. Avec des mouvements lents, il lui montra les notes. «Iiiii ! Ses mains !» pensa Kitsune, rougissant. Elle bredouilla un faible «Merci» et il la lâcha pour prendre sa guitare électrique. Il se leva et alla s’assoeir sur un sofa du salon. Kitsune sortit les partitions de la basse et se mit à pratiquer pour la chanson «Reila». Après une heure d’efforts répétés, elle réussit la mélodie. Puis, épuisée, elle alla écouter les solos de Kukkii, impressionnée. Il finit son morceau, amusé.

-Fantastique ! s’exclama Kitsune en applaudissant.

-Merci, merci…dit-il en s’inclinant, sur un ton moqueur, Bon…Ben j’ai faim moi…On y va ?

-Oui ! ^_^

* * *
-Mmmmm, j’aime la pizza ! dit Kitsune après le repas.

-Moi aussi, approuva Kukkii.

Ils montèrent à l’étage et furent surpris de voir Chokoreto qui fouillait frénétiquement dans son sac à main.

-Ah ! Vous êtes là, enfin ! Je trouvais plus mes clés, dit-elle.

-Normal, c’est moi qui les ai, justifia Kukkii.

Il ouvrit la porte alors que Tenshi arrivait juste derrière eux.

-T’étais où, toi ? demanda Kitsune qui ne l’avait pas vu depuis qu’elle était rentrée.

-Euh…Moi ? Ben j’étais…euh…en bas…répondit-il mal-à-l’aise.

-Huhum, dit Kitsune, T’es louche…

-Moi ? Allons, c’est n’importe quoi ! dit-il avec un petit rire.

Puis, il disparut dans le couloir en les saluant.

C'est vrai qui fait louch!
Je paris qu'il parlait ac la réseptionniste!!! (LOL)

Ahahahaha...-rire nerveux-
Mais ou tu vas chercher ça?!
enfin bon...je vais peut-etre écrire ce soir, espérons-le! ^-^

Go! écris sinon je dit a tout le monde ce qu'à *fait* Tenshi ac Shizen, la fille de la réception ( J'ai po fait de faute Youpi!)

Pfff...je suis épuisée totale brain off...-C'est hamster, tu peux arrêter de courrir- Et voila le fruit de ma dure labeur...c'est nul à mort je sais...

Chapitre 10

«Cui ! cui ! cui !» Kitsune se réveilla au chant de l’aube par les oiseaux perchés dans le cerisier près de sa fenêtre. Elle se leva et alla prendre sa douche histoire de se réveiller. Les cheveux en chignon, pour ne pas les mouillés, elle descendit en bas en pyjama et avec sa serviette sous le bras. Lorsqu’elle sortit de la douche, elle eut à peine le temps de se couvrir le corps de sa serviette que la porte de la chambre de bain s’ouvrit alors que Kukkii entrait. Stupeur.

-Kyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!! Sors d’ici ! s’écria-t-elle.

-Désooooooooolléééééééééééé !! cria Kukkii avant de fermer la porte en vitesse et de s’éloigner.

Kitsune soupira puis elle s’habilla de son uniforme. Elle alla ensuite déjeuner avec les autres qui trouvèrent étranges que Kitsune et Kukkii demeurent silencieux alors que c’était ceux qui parlaient le plus d’habitude. Puis, ils partirent pour l’école, vivre une journée particulièrement passionnante ou plutôt ordinaire je dois dire. Côté musique, elle rejoua avec Kukkii qui lui indiquait les notes de temps en temps. Elle s’améliora de beaucoup jusqu’à enfin pouvoir jouer Reila le vendredi.

-Ouais ! Pratique demain ! dit-elle toute contente.

Elle se tourna vers Tenshi, qui était sur le sofa.

-Pourrais nous y conduire ? demanda-t-elle.

Il ne répondit pas. Elle claqua des doigts devant son visage.

-Allo ?! T’es parmi nous ?!

-Hein ?! Quoi ?! dit-il, sortant de ses rêveries.

-Nous conduire. Tu peux ?
-O…Oui, bien sûr ! répondit-il, distrait.

* * *
Quelques semaines plus tard, la vie allant de bon train et plutôt de routine (j’aime pas me répéter), vint enfin le jour tant attendu de Kitsune…

-Hey ! Demain c’est Halloween ! s’écria-t-elle.

-Euh…génial, dit Tenshi pour ne pas gâcher son enthousiasme.

-Moi, je me déguise en lapin ! dit Chokoreto.

-Oh non, c’est pas vrai…se désespéra Kukkii.

-Moi, je me déguise en Moony ! dit fièrement Kitsune.

-Qui ça ?! demanda Tenshi.

-Moony, une voleuse renard, vous connaissez pas ? J’ai lu ça dans un livre…dit Kitsune.

-D’accord, alors moi je me déguise en ninja ! lança Kukkii.

-Euh…J’espère que tu comptes pas emporter tes katanas à l’école, la prévint Chokoreto.

-Ah non ? Oh, dommage…s’attrista-t-il.

-Euh…dirent les trois autres en se regardant.

* * *
Puis vinrent les examens…

-Ça c’est moins joyeux, grommela Kitsune, Je crois que j’ai coulé en Sciences…beuh…

-Comment tu peux couler en Sciences ? s’étonna Kukkii, C’est trop logique pour ça voyons !

-Mais, ni-san, elle a pas un don comme toi, expliqua Chokoreto. *ni-san= grand frere

-L’examen de Math était simple, remarqua Tenshi.

-Mais maintenant, ils sont tous finis ! s’écrièrent Kitsune et Chokoreto.

-Ouais ! On boit et on s’soûle ! s’égaya Kukkii.

-Euh…nan, pas vraiment…répondirent en chœur les trois autres.

-Oh…dommage…

Bon, je trouvais l'autre chapitre trop court et trop nul...alors en voici un autre! beaucoup mieux selon moi, c'est mon bout préféré!^_^

Chapitre 10
(2e partie)

Lorsque Kitsune se réveilla par un vendredi matin, elle aperçut le manteau blanc qui avait eut le loisir de se déposer sur Kyoto.

-Oh ! De la neige ! s’écria-t-elle. Il neige ! Il neige ! Il neige !

Elle sautait dans l’appartement.

-Nnnnh ? Quoi ? demanda Tenshi qui se réveillait à peine.

-On va dehors ! Il neige ! s’exclamait Kitsune, folle de joie.

Ils sortirent après les supplications de Kitsune, écharpe au cou. Kitsune s’émerveillait devant la beauté du paysage. C’est alors que Kukkii reçut une balle de neige derrière la tête.

-Hey ! cria-t-il, C’est froid !

Il se retourna et aperçut Chokoreto qui riait.

-Ah tu vas voir ! menaça-t-il.

-Aaaaah ! Non ! cria-t-elle en s’enfuyant.

Pas besoin de vous dire qu’ils étaient maintenant engagés dans une féroce bataille de boule de neige. Puis, calmés et vengés, ils partirent pour l’école.

* * *
Le soir même, Kitsune était allée voir Kukkii s’entraîner au kendo. Lorsqu’ils revinrent en voiture, Tenshi, Kitsune et Kukkii, ne se doutaient pas de ce qui allait leur arriver. Sur une autoroute, alors qu’ils étaient en profonde discussion, la voiture roula sur quelque chose de lisse et se mit à glisser.

-Qu’est-ce que c’est ?! demanda Tenshi, inquiet.

-De la glace ! répondit Kitsune, terrifiée.

C'est vrm hot jass! Ton chap est super bon

Pourquoi il n'y a que Daphné qui me répond? C'est moche...je veux savoir si c'est bon ou j'abandonne...Enfin, voici quand même le chapitre suivant...-.-

Chapitre 11

La voiture se mit à dériver de droite à gauche alors que Tenshi s’efforçait de la maintenir.

-Frêne ! Mais frêne, merde !! lui criait Kukkii.

-Crois moi, j’essaie ! répondit-il, sur le qui-vive.

Enfin, le bruit caractéristique des pneus qui crissent sur l’asphalte se fit entendre et la voiture s’arrêta nette. Soupir de soulagement.

-Ça va ? demanda Tenshi après un moment de silence.
Kitsune hocha la tête et un grognement affirmatif parvint de l’arrière de la voiture, c’était Kukkii. Puis, brusquement, Kitsune se figea.

-Ah non ! Derrière ! cria-t-elle, paniquée.

Ils virent tous avec horreur une autre voiture arriver à vive allure. L’impact était inévitable. La voiture leur fonça dedans, les poussant vers l’avant. Tenshi perdit le volant et la voiture se mit à déraper pour atterrir dans le fossé. Ce fut le noir…Lorsque Kitsune reprit conscience, elle avait la tête appuyée sur le tableau de bord et sentant un liquide chaud couler de son front. Elle saignait légèrement. Elle tourna la tête et vit Tenshi, la tête sur son avant bras reposant sur le volant. Elle le secoua doucement et il revint lentement à lui. Ils regardèrent en arrière et tentèrent de réveiller Kukkii.

-Hummm…aïe ! dit-il en bougeant son poignet.

-Il est peut-être foulé, dit Tenshi, Tu as dû te le frapper contre la portière…

-Génial, maugréa Kukkii.

-On ferait mieux de sortir, si y’a de l’essence qui s’échappe, ça peut exploser, ajouta Tenshi.

-Vas-y, te gênes pas surtout ! Si t’as d’autres mauvaises nouvelles comme ça, shoot ! lança Kukkii, visiblement de mauvaise humeur.

Une fois sortis, Tenshi sortit son cellulaire et appela une remorqueuse. Puis, il soupira.

-Ma voiture…

-Désolé, dit sincèrement Kukkii.

-Bah, au moins on est tous vivants, c’est ce qui compte vraiment, avoua Tenshi vrai philosophe.

-Ça va toi ? demanda Kitsune à Kukkii.

-Ça fait mal, mais je vais survivre, dit-il à nouveau moqueur.

Lorsque la remorqueuse, après avoir porté la voiture de Tenshi au garage pour la nuit, est venue les ramenés à la pension, ils s’aperçurent en voyant la foule rassemblée au salon qu’ils leur seraient inévitable d’avoir à raconter l’accident en détails. Une fois le public rassasié par l’histoire, ils allèrent tous se coucher, ébranlés et fatigués…

je repond pas paske chuisa pas la lol.....xc supeeeeerrr bueno ^^


continuuueeeuuu

Pauvre Cooky (dsl c l'habitude)

Rebonjour les filles!! Ça fait longtemps mais j'ai enfin écris mon chapitre 12!!! PLEASE METTEZ DES COMMENTAIRES!!! hope you'll like it!

Chapitre 12

Ce matin là, Kitsune remarqua qu’il avait neigé à nouveau, à sa grande joie. C’est donc du bon pied qu’elle commença sa journée. C’était le premier vendredi de décembre. Kitsune s’habilla, songeuse à ce qu’elle ferait en cette fin de semaine : pratiquer avec le groupe, voir ses amies ou sortir avec Santso…Elle aimait bien la dernière option. Santso. Un ami d’enfance, mais elle rêvait de plus que ça. Cependant, elle ne savait pas si c’était le cas pour lui. C’est ainsi qu’elle descendit manger sans même apercevoir Kukkii qui la saluait, tant elle était perdue dans ses rêveries. «Oh oui ! On irait au cinéma puis on marcherait dans la neige fraîchement tombée. Ce serait fan-tas-tique !» Tenshi s’assit à la table où étaient déjà là, Chokoreto, Kitsune et Kukkii. Il avait l’air déprimé.

-C’est quoi cette face d’enterrement ? demanda Kukkii.

-C’est celle de l’enterrement de ma voiture…répondit-il d’un air grave.

Il y eu un grand silence, l’incitant à poursuivre.

-Elle va bien, ma bagnole, mais moi…dit-il, Je pourrai pas l’avoir «jusqu’à nouvel ordre» comme a dit mon père.

-On est désolé, dit Kitsune.

-Sincèrement, ajouta Kukkii.

-Merci, c’est sympa, dit-il en forçant un sourire.

-Je DÉTESTE les ambiances sérieuses !! s’exclama alors Chokoreto, Et puis, si on se bouge pas, on va être en retard !

Ils se levèrent et marchèrent le chemin vers l’école en silence, sauf Chokoreto qui chantait pour se désennuyer.

***

-Tu veux bien arrêter ça !! s’énerva Kukkii lors de la pause dînner.

Chokoreto ne cessait de fixer son bandage au poignet en répétant : «Ça te fait mal ?».

-J’y peux rien, ça me donne mal de penser que tu pourrais avoir mal, répondit-elle, Déjà dans ton état…

-Dans quel état ? demanda Satoshi qui venait d’arriver.

Il s’assit à côté de Kitsune alors que Kukkii lançait un regard noir à sa sœur.

-Quoi ?! se défendit-elle, Tu t’es déjà fait mal à cette main en frappant le mur de ta chambre…

-Pourquoi t’as fait ça ?! demanda Tenshi, prenant part à la conversation.

-J’étais fâché, c’est tout…dit Kukkii, sans plus de détails.

-Et t’as attaqué ce pauvre mur ! Quelle honte ! blagua Satoshi.

Cette dernière phrase détendit l’atmosphère et ils préférèrent passer à un autre sujet de conversation.

***
Satoshi marchait dans le couloir lorsqu’il remarqua un livre par terre. Il le ramassa et, regardant autour de lui, aperçut celle à qui pourrait appartenir le livre. Elle avait l’air d’avoir 15 ans, cheveux bruns foncé, courts avec deux mèches longues sur les côtés et un toupet lui tombant devant les yeux. Il s’approcha en tendant le livre.

-Je crois que c’est à toi, je me trompe ? demanda-t-il.

Elle secoua la tête et prit le livre.

-Dis, c’est quoi ton nom ? poursuivit-il.

-Euh…S-Suki…Ketade…dit-elle timidement.

-C’est un joli, Suki…commenta Satoshi.

Il lui sourit. Elle devint rouge, tourna les talons et s’enfuit en courant. «Elle est mignonne» pensa-t-il. Il rencontra ensuite Kitsune dans les escaliers et comme la journée était finie, ils rentrèrent ensemble. Kitsune parla de son projet d’aller quelque part après la pratique. Il trouva que c’était là une très bonne idée, il allait justement emprunter la voiture de son père pour les conduire à la pratique puisque Tenshi ne pouvait plus. Un vent du nord fit frissonner Kitsune. L’hiver était bel et bien là et ne manquait de faire sentir sa présence.

-T’as froid ?

-Ça…Ça va, dit-elle.

Elle sentit alors un poids sur ses épaules : le manteau de Satoshi. Se sentant rougir, elle tourna la tête.

-Merci !

-De rien…répondit-il.

«Vraiment une merveilleuse journée !» pensa Kitsune.

Suivi de près par le chapitre 13!!! pour me faire pardonner...^^

Chapitre 13

-Kitsuneeee ! Lève-toi !

-Hnn ?

Tisaru, son père, lui parlait de derrière la porte de sa chambre. Un peu perdue, elle se rappela que la pension était fermée les fins de semaine et que son père passait la prendre chaque vendredi soir.

-Téléphone pour toi !

Kitsune, à moitié endormie, étira le bras et attrapa le téléphone de sa table de chevet.

-Je l’ai ! dit-elle à son père.

Puis elle l’entendit descendre l’escalier. Elle répondit alors.

-A…Allooo ?

-Euh…Salut ! C’est moi ! dit une voix.

-Santso…T’as une idée de l’heure qu’il est ?

-Oui, il est 9h30 du matin…pourquoi ?

-Ah ! Si tard ?!

-Je voulais te dire que je passe dans 15 minutes pour qu’on arrive à 10h, ok ?

-Okaaay…je serai prête.

Clic ! Et elle raccrocha en se frottant les yeux. Puis, lentement, elle se leva, s’habilla d’un pull rouge et d’un jeans avant de descendre en bas. Elle avala un morceau, puis salua son père et sorti dehors. Satoshi arriva peu après dans une Chevrolet Malibu bleu métallique. Kukkii était déjà là, à côté de Satoshi.

-On y va ? demanda-t-il.

-Oui ! dit-elle avant d’embarquer à l’arrière.

***
Toc ! Toc ! Toc !

-Ça vient ! répondit Nox.

-Euh…Nox, attenti… !le prévint Hikage un peu trop tard.

SBAM!!!

-Aïeuh…Je me suis mangé le plancher en pleine figure...maudite chaussure…dit Nox.

Enfin, la porte s’ouvrit alors que Nox tentait d’avoir l’air décontracté.

-Je vais bien, ça va ! Vous avez rien entendu ! tenta-t-il de se rattraper.

-Euh…Nox…Tu saignes du nez…lui dit Kukkii.

-Ah merde !! dit-il en mettant sa main devant son nez, Fais chier…

Il disparut dans la salle de bain.

-Mais entrez donc ! les invita Hikage.

Ils entrèrent et remarquèrent quelques améliorations sur le rangement : moins de linge qui traînes, moins d’assiettes sales, moins de revues par terre et bien sûr, les chaussures dans lesquelles Nox venait de se planter. Hikage déposa son livre sur la table, ramassa à peu près tout ce qui traînait puis lança le tout sur son lit et ferma la porte de sa chambre.

-Et voilà ! C’est déjà mieux ainsi, non ? dit-il fièrement.

-Mouais, si on veut…dit Kukkii.

-Au fait, moi je peux maintenant jouer Reila par cœur ! dit Kitsune toute contente.

-C’est bien ! commenta Hikage, Nox ? Ça va ?

-Ouais, ouais…dit-il en revenant, C’est fini…Chuis redevenu normal.

-Dis, t’as pensé à un nom de scène ? Si tu en veux un, bien sûr, proposa Hikage.

-Eh ben… J’aimerais bien m’appeler…commença-t-elle.

Un sourire s’étendit sur ses lèvres : un nom lui venait à l’esprit.

-…Moony !

-Euh…ok…dit Nox, Enfin…c’est ton choix !

-Alors va pour Moony ! approuva Hikage.

-On a trouvé une autre chanson qu’on pourrait faire, dit Satoshi, C’est Cassis de Gazette.

-Ouais, cool…je l’aime bien, commenta Nox.

-Moi, les sons de la guitare, j’adore ! ajouta Kukkii.

-Au fond, on recherche les chansons de Miyavi ou de Gazette qui ont la basse, la guitare et la guitare électrique, c’est ça ? demanda Kitsune.

-C’est ça ! répondirent les autres en chœur.

-Puis, on vérifie si ces chansons sont faisables pour nous, expliqua Kukkii, Ensuite on peut imprimer les partitions et les jouer avec ce qu’on a.

-Ah ! Je devais dire aussi, je nous ai inscrit au concours de band de l’école, c’est dans un mois…annonça Hikage, C’est le 17 janvier…D’ici là, pratiquons !

***
-Bye !!

Kukkii venait de descendre de la voiture devant chez lui. Kitsune et Satoshi se retrouvaient alors seuls. Silence.

-Bon…On tu veux aller ? demanda-t-il au bout d’un moment.

-Je sais pas…Si on allait manger, je meurs de faim ! constata-t-elle.

-Bonne idée, moi aussi j’ai faim.

Satoshi parcourut les rues à la recherche d’un bon petit resto jusqu’à ce qu’il tombent sur un endroit absolument adorable : un café de couleur rose bonbon, avec une haie l’entourant et un arche la traversant en guise d’entrée.

-Dis, c’est pas le café où travaille Chips ? demanda Kitsune.

-Mais oui, c’est le Café Mew Mew, confirma Satoshi.

Ils se garèrent et entrèrent dans le somptueux endroit. Il y avait des tables placées un peu partout, l’ambiance était joyeuse et déjà quelques clients étaient assis et discutaient. Les serveuses se trouvaient un chemin à travers tables et chaises, certaines apportant des plats, d’autres nettoyant les tables. Ils trouvèrent Chokoreto en train de balayer près du comptoir à commandes. Elle portait un superbe uniforme beige avec un tablier en forme de cœur noué dans le dos et un bandeau qui allait avec. Les couleurs semblaient différentes pour chaque serveuse mais le modèle était le même.

-Bonjour ! Bienvenue au Café Mew Mew ! dit-elle distraitement.

-Salut Chips ! dit joyeusement Kitsune.

Chokoreto leva la tête, surprise de reconnaître la voix.

-Ah bonjour ! Je ne pensais pas que c’était vous ! Qu’est-ce qui vous amène ?

-On a faim, qu’est-ce que tu crois, répondit Satoshi pour eux deux.

-Je vous reviens dans 2 minutes ! dit-elle en se tournant vers le comptoir.

En effet, un grand jeune homme dans la vingtaine, cheveux longs et sombres, s’était approché pour lui parler.

-Le gâteau pour la table 8 ! lui dit-il en souriant.

-Ok !

Et elle partit vers la table pour revenir ensuite.

-Bon…alors ?

-C’était qui ? demanda Kitsune.

-Un des gérants. Ils sont deux : Keiichiro et Ryou. Lui c’était Keiichiro…Il est cuisinier.

-Il est charmant, constata Kitsune.

-C’est que t’as pas vu Ryou…aaaah, soupira Chokoreto.

-Dis donc, t’en passerais pas pour lui ? demanda Satoshi.

-P’t’être bien… dit-elle en rougissant, Bon ok, j’avoue…Il est tellement beau ! Mais je lui ai pas encore demandé de sortir…

-T’es une fonceuse ! Tu devrais réussir ça ! l’encouragea Kitsune.

-Merci ! Bon…Alors ce sera ?

-2 Sundays chocolat-fraise, ça te va ? demanda Satoshi à Kitsune.

-Absolument ! dit-elle.

-Parfait ! Ça sera pas long.

Puis elle disparut derrière le comptoir. Elle en ressorti quelques minutes plus tard avec la commande. Satoshi insista pour payer puis ils s’assirent à une table.

-Et après, on fait quoi ? demanda Satoshi.

-On va au cinoche ?

-Nan, on l’a déjà fait ça…

Gros silence (enfin, sauf le bruit des cuillères dans les pots en vitre de crème glacée).

-Et si on allait magasiner ? proposa Satoshi.

-Oh oui ! Ce serait génial ! approuva Kitsune.

Lorsqu’ils eurent fini leur crèmes glacées, ils prirent le chemin du centre d’achats après avoir bien sûr saluer Chokoreto.

Oui!!! Je suis trop fière de ce chapitre! Vive Nox!!!

Chapitre 14

-Wouah ! Je veux trop cette robe ! s’écria Kitsune, Elle irait bien avec mes chaussures…

Devant la vitrine d’un magasin qui sortait ses nouveautés pour Noël, elle pointait une jolie robe noire, arrivant aux genoux et avec de fines brettelles.

-Achète-la si tu la veux, dit simplement Satoshi.

-Je peux pas, j’ai pas l’argent, se plaignit-elle.

-Dommage.

-Ça me rappelle que je dois faire mon magasinage de Noël, se dit-elle.

-On peut le faire maintenant.

-Ouais !

Satoshi acheta quelques trucs qu’il voulait garder secret jusqu’à l’échange de cadeaux de Noël à la pension. Kitsune, elle, acheta une cravate pour son père.

-Pas très original, mais bon, avoua-t-elle.

-Je suis sûr qu’il va aimer, dit Satoshi en riant.

-C’est pas drôle !

-Mais tu souris quand même ! lui fit-il remarquer.

-Oh ça va…T’as gagné ! s’avoua-t-elle vaincue.

Alors qu’ils passaient devant un magasin de musique, ils y reconnurent une forme familière.

-Nox ?! s’exclama Kitsune.

En effet c’était lui, puisqu’il releva la tête des étagères lorsqu’il entendit son nom.

-Ouais ? Qu’est-ce qu’y a ? demanda-t-il.

-Mais qu’est-ce que tu fais là ? demanda Satoshi.

-Bah…je me cherche des nouveaux drumsticks.

-Pourquoi ? T’en avais ce matin, non ? s’interrogea Kitsune.

-J’ai continué de jouer après votre départ et pendant une chanson…ben…mon bâton est resté pris dans la cymbale et il s’est cassé en deux. J’ai pas remarqué et j’ai continué mais ça sonnait bizarre alors j’ai regardé et j’ai vu que le bout était plus là. Il avait traversé la pièce. Shade était mort de rire. J’en avais marre qu’il rit de ma gueule alors chuis venu en chercher des nouveaux pour qu’il la boucle. Et voilà la petite histoire de mon drumstick. Je ferais ses funérailles tout à l’heure…Non, je plaisante...Et vous ? Vous faites quoi ? Un rancart ?

-QUOI ?! Oh non non non…Te méprends pas ! dirent-ils en même temps.

-Mouais…

-On faisait juste magasiner pour le temps des fêtes, se défendit Kitsune.

-Bon ben, moi je vais payer ça et je vous laisse…dit-il avec un clin d’œil.

Sur ce, il partit vers le fond du magasin pendant que les deux autres sortirent, mal-à-l’aise.

-C’était une blague, pas vrai ? demanda Kitsune en brisant le silence.

-Bien sûr, c’est tout Nox ça…On devrait l’agacer avec Sheila, rassura Satoshi.

-Ouais ! Vengeance ! approuva Kitsune.

Ils finirent leur superbe sortie en parcourant les rues lorsque la neige se mit à tomber. Moment magique. Puis, Satoshi déposa Kitsune devant la pension où son père l’attendait. Tisaru remercia Satoshi de si bien s’occuper de sa fille. Lorsqu’elle rentra, Kitsune fit ses devoirs puis écouta un film d’amour dans la soirée. Elle s’imaginait, elle et Satoshi, vivre une si belle histoire d’amour. «Je ne dois pas rêver en couleur ! se rappela-t-elle, Je ne sais pas ce qu’il ressent pour moi !» Mais avec espoir, elle se coucha et laissa libre court à son imagination.

***
Le lendemain, il ne se passa pas grand-chose : Kitsune fit le ménage puis alla chez sa chère amie Kimiko. Allons plutôt voir du côté de Nox et Shade…

-J’espère qu’ils sont plus résistants tes nouveaux drumsticks…lança Hikage.

-Mais tu vas la fermer, oui ?! s’énerva Nox.

-Attends voir…Non ! répondit Hikage.

-Et dire que c’est moi qu’on traite d’invivable, soupira Nox, Des fois j’te jure…

-Pourquoi t’essaies pas de me frapper avec tes bâtons, pour voir la résistance! dit Hikage.

-Me donne pas d’aussi bonnes idées, crétin ! lui rétorqua Nox.

-Ouh! Ce que t’es effrayant! s’amusa Hikage.

-Bon si tu veux être utile, dis-moi donc l’heure qu’il est ?

-Euh…11h, pourquoi ?

-Faut que je parte bosser, moi, répondit-il en attrapant son manteau.
-Okay ! Salut !

-Fous pas le bordel en mon absence ! recommanda Nox.

-C’est pas mon genre, idiot, lui répondit Hikage.

La porte claqua ; Nox était parti. Il dévala l’escalier du bloc appartement et ouvrit la lourde porte d’entrée. Il marchait rapidement ; de la buée s’échappait de sa bouche à chaque respiration. Malgré le froid mordant, d’autres passants occupaient les rues, parcourant les boutiques, entrant prestement et sortant en soupirant. Nox tourna à droite sur la rue principale : l’avenue Sakura. Il dépassa quelques boutiques, un salon de coiffure, un bar et finalement, se planta devant une porte vitrée. Un horaire d’ouverture y était collé puis se trouvait une grande vitre dévoilant l’intérieur de chic petit restaurant. Le Tori no Yoru, ouvert la semaine de 9h du matin à 10h du soir et la fin de semaine de midi à 9h du soir. Nox poussa la porte qui fit tinter la clochette. Dans ce restaurant, il devait y avoir une dizaine de tables partagées entre 4 serveurs. L’un d’eux releva la tête et salua jovialement Nox de la main avec un grand sourire. Cheveux roux et fins, longs jusqu’au bas du dos mais toujours liés en queue de cheval, toujours souriant, un peu bête parfois et plutôt maladroit ; voilà ce qui résumait le jeune homme de 17, débordant d’énergie. Ce type, et bien, il ne peut s’agir de nul autre que…

-Kai ! maugréa Nox, comme à son habitude.

-Ça va, Nox ? demanda celui-ci.

-Ça allait mieux quand t’étais pas là…

-Hahaha…Content de voir que tu changes pas ! dit Kai.

Et oui, c’était son genre que de trouver le côté positif dans toute chose. Nox alla se changer dans la salle de bain puis en ressorti vêtu d’une chemise et d’un pantalon noirs ainsi que d’un tablier blanc attaché à la taille où il glissa un calepin de commandes et un crayon : l’uniforme que portaient déjà les trois autres serveurs du resto. À cette heure-ci, il n’y avait pas foule. Nox aurait pu choisir une autre journée pour travailler mais…une certaine personne entrait tout les dimanches et Nox ne pouvait manquer une occasion pareille. Comme une horloge, la porte s’ouvrit, la cloche tinta. Nox leva les yeux et sourit. Silhouette grande et mince de 18 ans, yeux noisette, cheveux blancs aux reflets argentés lui tombant aux épaules. Sheila. Elle s’avança jusqu’à sa table habituelle et y déposa sur le dossier de sa chaise son lourd manteau en suède. De la main, elle replaça sa seule mèche rouge derrière son oreille. Kai fit un clin d’œil à Nox et faillit se manger le poing de celui-ci. Nox s’approcha de la table et dit galamment (ce qui, je le souligne, est un phénomène TRÈS rare) :

-Ce sera quoi, mademoiselle ?

Elle lui offrit un sourire à faire fondre.

-Comme d’habitude, Nox.

-Un café au lait et un baguel grain entier, ça roule ! nota-t-il avant de se retourner déposer le papier sur le comptoir de la cuisine.

Il revint bientôt avec la commande à la table 4.

-Merci bien, dit Sheila.

Nox vérifia les alentours et, comme il n’y avait pas trop de clients, conclut que ça ne dérangerait sûrement pas qu’il discute un peu.

-Alors, ça va ? demanda-t-il.

-Oui, et toi ? Et le groupe ?

-Ça va, le groupe aussi. On est inscrit au concours de band de l’école le 17 janvier, je crois.

-C’est génial ! J’adorerais y être…avoua-t-elle, Dommage qu’on ne soit pas dans la même école.

-Ouais…La vie est injuste, ajouta Nox en haussant les épaules.

Elle sourit et il lui renvoya le sourire à son tour (2e phénomène TRÈS rare).

-Hey là ! Interdit de draguer sur les heures de travail ! interrompit la voix de Kai.

-Je vais t’assassiner…lui murmura Nox.

-Kai ! Comment vas-tu ? demanda Sheila, tout sourire.

-Bien, merci…Mais je sais pas pour combien de temps, dit-il en voyant le regard noir de Nox.

Celui-ci soupira et se contenta de lui envoyer un amical coup de poing sur l’épaule.

-Qu’est-ce que vous faites après le travail ? dit soudainement Sheila entre deux bouchées de baguel.

-Rien, dirent en même temps Kai et Nox.

-Parfait ! Je vous enlève pour une sortie au ciné, si ça vous dit bien sûr, s’empressa-t-elle d’ajouter.

-Ouais, ok ! répondit Nox, sans hésitation.

-Non merci, pas pour moi, dit curieusement Kai, J’ai pleins de trucs à faire et des devoirs de dernières minutes…Ce sera une autre fois, désolé.

-C’est pas grave, assura Sheila, Bon et bien, on se voit tout à l’heure Nox…4h devant le ciné.

-Okay…dit simplement Nox.

Puis il se retourna vers le rouquin.

-Quoi ? fit celui-ci d’un air innocent.
-Tu sais très bien quoi…Pourquoi tu viens pas ? dit Nox d’un ton tranchant.

-Je ne voudrais surtout pas déranger, répondit Kai sans gêne.

-Te mêles pas de ce qui te regardes pas…soupira Nox.

Puis, comme il allait se retourner vers une autre table, il ajouta :

-Mais…je dois tout de même te remercier sur ce coup-là…

Kai sourit puis retourna à ses occupations.

Comment ca pas grand chose! Pourquoi venir chez moi ca serait pas grand! (Joke) Super ton chapitre! ^^ J'adore j'ai hate a la suite! Vive Nox!

La suite! Avec mes perso pref...Nox et Shade!!

Chapitre 15

Toujours avec Hikage et Nox…

Pendant ce temps, Hikage s’ennuyait à l’appartement après avoir méticuleusement regarder tout les canaux de télévision. Il gratta quelques temps les cordes de sa guitare puis se leva pour se verser quelque chose à boire. Il s’aperçut qu’il ne restait plus de lait et décida d’aller en chercher. Il prit son manteau et sorti dans le froid à la recherche du marché le plus près. Après quelques minutes, il avait repéré le lieu en question, à côté de la banque. Sur l’enseigne du marché, on lisait : Kuro-Neko market. Hikage trouvait le nom bien amusant. Lorsqu’il s’approcha, les portes s’ouvrirent d’elles-mêmes, glissant sur les côtés. La chaleur du marché l’envahit, puis il piqua vers le fond, dans le coin des jus et autres breuvages réfrigérés. Il attrapa la première peinte de lait qu’il trouva et se retourna. Bam ! La jeune fille échappa sa grosse boîte de jus et un pain.

-Je suis vraiment désolé ! s’empressa de dire Hikage en se penchant pour ramasser.

-C’est rien, dit-elle, Je ne regardais pas où j’allais…Je m’excuse…

Hikage lui tendit son pain et en profita pour mieux la regarder. Un peu plus petite que lui, ayant l’air d’avoir sur ses 16 ans, cheveux noirs et blonds à la fois (comme Ali), yeux bleus azur. Elle le regarda timidement, l’observant à son tour. Ses cheveux noirs, ses yeux opales.

-Rio !! Viens, on s’en va ! interrompit une voix au moment que vivaient les deux jeunes.

La jeune fille sortit de ses rêveries et suivit sa mère hors du marché en soufflant un petit «Merci» que seul Hikage pu entendre. Il la regarda s’éloigner puis alla payer son lait, un sourire sur les lèvres. Lorsqu’il sortit à l’extérieur, il sentit quelque chose lui piquer la gorge, puis il tourna sur la rue Hoshi pour retourner vers l’appartement, son sac d’épicerie à la main.

***
Pendant ce temps, Nox et Sheila allaient au cinéma. Sheila voulait voir un film romantique mais Nox était catégorique.

-Pas question ! déclara-t-il pour la neuvième fois.

-Oh, s’il te plaît ! le supplia Sheila.

-Ben ça me plaît pas justement ! souligna Nox.

-Oh Nox…juste cette fois ! insista-t-elle.

Il soupira, puis il finit par céder. Sheila sautait de joie comme une gamine (elle a 18 ans je le rappelle…). Après le film, de retour à l’appartement :

-Je te remercie beaucoup d’avoir accepté, dit Sheila, J’ai bien aimé.

-De rien, maugréa Nox.

-Quoi ? T’aimes pas ça?

-Ce genre de trucs me dépassent…Je trouve ça débile, dit-il.

-T’es cruel…C’est donc que tu ne crois pas à l’amour ? lança Sheila.

-J’ai jamais dit ça…Mais cet amour là est pathétique, argumenta-t-il.

-Tu ne voudrais pas vivre une histoire romantique ? demanda-t-elle.

-Euh…tu me le demandes vraiment ?

Elle le fixa un moment. Puis, elle approcha son visage du sien. Il ne recula pas. Elle ferma les yeux et juste comme leurs lèvres allaient se toucher…La porte de l’appart s’ouvrit. Nox baissa la tête, rougissant (trop mignon !) et Sheila se mit à rire.

-Euh…Je tombe mal ? dit la voix de Hikage.

Il regarda tour à tour Nox et Sheila.

-Je sens que je viens de gâcher quelque chose…ajouta-t-il.

-Haha, c’est pas grave, dit Sheila.

Puis, voyant la mine de Nox, ajouta :

-Dit-toi que, la prochaine fois, on reprendra où on en était !

Sur ce, elle l’embrassa sur la joue avant de disparaître. Lorsqu’elle fut partie le sourire de Nox s’effaça en une seconde alors qu’il se tournait vers Hikage.

-J’espère que t’es content de ce que t’as fait ?

-Oui, je dois dire que j’en suis assez fier ! répondit-il.

Nox eu un petit sourire narquois, puis il entra dans l’appartement et ferma la porte en criant :

-SHADE ! T’ES UN HOMME MORT !!!!

-Ah pitié, épargne-moi ! Qui va remplacer mon si grand talent dans le groupe ?! se plaignit Hikage.

-C’est pas mon problème ! rétorqua Nox en faisant mine de l’étrangler.

***
Pour se faire pardonner, Hikage commanda de la pizza et c’est donc ce qu’ils mangèrent pour le souper. Hikage lut pendant une bonne partie de la soirée alors que Nox jouait à des courses avec son Playstation 2 (un truc de gars quoi…). Hikage s’amusait à voir Nox si concentré par son jeu à lancer des «Ouais…à gauche…» ou des «Non…oh merde !» ou des «Enfoiré ! Il va me le payer…». Lorsque Nox finit une course, Hikage se proposa pour la prochaine.

-Bah…T’as jamais joué ! Veux pas que tu me perdes mon championnat ! dit Nox.

-J’ai jamais joué, hein ? Passe-moi cette manette ! lui dit Hikage.

-Si tu perds cette course, tu ne joueras plus jamais à ce jeu ! le prévint Nox.

-Tu me sous-estime…rétorqua-t-il avec un sourire malicieux.

«Eh merde…faut pas que je perde !» pensa Hikage. La course commença, il était parti premier : c’est déjà ça. Puis, il évita les voitures à droite, à gauche puis passa très près d’un autobus et faillit percuter un camion à chargement de bois. Tout allait bien lorsqu’il rentra malencontreusement dans un taxi. Ils se fit dépassé et passa en 3e place. Frustré, Hikage mit le pied au tapis et en faisant du slalom à une vitesse effrénée, il parvint à parvint à regagner sa 1e place et termina la course de justesse, une voiture derrière lui. Nox était sidéré. Il envoya une tape amicale sur l’épaule de son ami en lançant :

-Et bien…Talent caché !

-Hehe…en effet…admit Hikage, -cough cough-

-Ça va pas ? demanda Nox.

-Je sais pas…je crois que je commence un rhume, supposa-t-il.

-J’ai pas envie de me ramasser avec un malade, merci, lâcha Nox.

-Mais parle pas, y’en a déjà un dans la pièce et je me suis jamais plaint…

-Qu’est-ce que t’insinues Hikage Sorakurai !

-Mais tu te souviens de mon nom en entier ! T’es doué! le félicita Hikage.

-Tu sais dans quoi je suis doué aussi ? lança Nox.

-Non, mais j’imagine que tu vas me le dire, dit-il.

-J’arrive à prédire la mort des gens…c’est drôle, non ? dit Nox avec un sourire narquois.

-Moi je trouve pas ça drôle…-cough cough-

-Ahlala, soupira Nox, Je vais t’acheter un truc à la pharmacie…Je reviens…

-Okay !

***
Le lendemain matin, ça avait empiré. Hikage toussait toutes les 15 minutes que Nox en devenait fou.

-Si tu continues comme ça, je vais avoir un mal de tête et on sera deux ! dit Nox.

-Ce que tu peux être -cough- négatif, soupira Hikage.

-Commence par finir tes phrases et on en reparlera, dit Nox avec un demi-sourire.

-Ça t’amuse avoue !

Nox sourit de plus belle. Puis, regardant sa montre suggéra de partir en vitesse. Ils prirent leurs manteaux et descendirent les marches de l’escalier, leur sac à dos sur l’épaule. Ils se rendirent au coin de la rue et attendirent.

-Je trouve ça pathétique qu’on ait à prendre le bus, marmonna Nox.

-J’vois pas pourquoi ! dit Hikage.

-Ben les autres y ont des voitures ! C’est bien plus cool ! se plaignit Nox, Mais non ! Nous on doit attendre dans le froid qu’un bus viennent nous prendre…c’est moche.

-Si tu veux une voiture, on n’a qu’à vendre des trucs, suggéra Hikage, Comme le PS2 ou la télé ou le drum…

Nox eut un regard terrifié que Hikage éclata de rire.

-Non ! On vend rien ! Pas besoin de voiture, s’empressa de dire Nox.

-Thought so…sourit Hikage.

À ce moment, l’autobus apparut à l’autre bout de la rue et ils sortirent leur argent.

Et voila la suite meme si personne ne me la demande...Quand personne ne veut de mes oeuvres, je n'ai plus envie de continuer ...voici un chapitre à suspense...mouhahaha...

Chapitre 16

Et voici la même journée, soit le dimanche, mais de retour au point de vue de Kitsune…
Ce matin là, elle se réveilla en forme et prête à attaquer sa journée. Elle se servit des céréales y versa du lait en fredonnant un air de Miyavi. Elle mangea un toast avec du Nutela et s’assit à la table pour manger avec son père qui était tant absorbé dans sa lecture du journal qu’il ne semblait l’avoir remarqué. Après le déjeuner, Kitsune remonta à sa chambre pour s’habiller. Puis, elle téléphona une bonne amie pour l’inviter à jouer. Une femme décrocha :

-Oui ? Émiko à l’appareil.

-Bonjour, est-ce que Kimiko est là ? demanda Kitsune.

-Bien sûr, une minute.

Puis, elle l’entendit crier le nom de Kimiko avant que la voix de son amie ne retentisse à l’autre bout du fil.

-Allo ? Qui c’est ?

-C’est moi, Kistune.

-Ah ! Ça va ?

-Oui, toi ?

-Bien merci. T’appelles pour quoi ?

-Je voulais savoir ce que tu faisais aujourd’hui, dit Kitsune.

-Euh…rien de spécial, on pourrait se voir. Tu veux venir ?

-Oui, si tu veux bien…

-Génial, alors ça marche. Disons… 1h30 ?

-Ok !

Clic ! C’était déjà arrangé. Elle informa son père d’aller chez son amie et il lui répondit qu’il était d’accord à une deux conditions : qu’elle ait fini son ménage avant et qu’elle s’y rende en autobus. Elle n’avait pas vraiment le choix alors elle se dépêcha d’aller chercher l’aspirateur et se mit à courir dans toute la maison pour finir à temps. Une poussière là, encore ici, on repasse par là, et on oublie pas le coin. À midi, elle avait fini, épuisée. Son père, satisfait, lui tendit ses billets de bus. Elle le remercia et sortit, manteau sur le dos, vers l’arrêt d’autobus.

***
Ding ! Dong ! La porte s’ouvrit sur son amie Kimiko, cheveux bruns aux mèches rouges. Elle l’invita à entrer et elles passèrent au salon pour saluer la famille. Puis elles montèrent à l’étage et rencontrèrent un garçon aux cheveux courts, rouges.

-T’as déjà vu mon cousin Daisuké ? Ben maintenant oui ! dit Kimiko.

-Bonjour ! Moi, c’est Kitsune, se présenta-t-elle.

-Salut ! Daisuké Niwa, dit-il.

-C’est un lapin que t’as sur l’épaule ?! Qu’il est mignon !! s’exclama Kitsune.

-C’est With, l’informa Daisuké, Un membre de la famille à part entière…

Kitsune ne comprit pas l’allusion mais Kimiko et Daisuké eurent un petit sourire. Kimiko présenta sa chambre, vaste, colorée et bien rangée. Kimiko s’assit à son bureau et Kitsune s’assit sur le lit.

-Tu veux bien m’aider pour mon devoir ? Je le comprends pas…demanda Kimiko.

-Euh…je vais faire mon possible, répondit Kitsune.

-Au fait, comment c’était hier ? demanda son amie en sortant son cahier.

-Hier ?

-Bah, avec Santso ! Tu ne sortais pas avec lui ? lui rappela Kimiko.

-Euh…ouais. Mais c’est pas comme un rancart, on est allé magasiner, dit Kitsune, C’est tout.

-C’est tout ?

-Puisque je te le dis !

-Ah…

-Comment ça «Ah…» ?!

-Ben…Je croyais que tu aimais bien Santso…

-C’est le cas…

-Alors…

-Alors quoi ?

-Dit-moi franchement…Es-tu amoureuse de Satoshi ?

-O…Oui, je crois…

-Pas de «Je crois» qui tienne…Tu en es sûre ?!

Kitsune resta un moment silencieuse et soutint le regard de son amie.

-D’accord…J’aime Santso, oui…Je suis amoureuse de mon ami d’enfance…c’est mal ?

Kimiko sourit.

-Quoi ?! demanda Kitsune, exaspérée par cet interrogatoire.

-Mais tu l’aimes alors…

-Et ?

-Pourquoi tu ne lui dis pas ?

-C’est pas si simple ! Et puis…

-Et puis ?

-Je ne sais pas comment…

-Ça viendra.

-Et s’il ne m’aimait pas ? J’aurais l’air de quoi ?

-Qui ne risque rien, n’a rien, dit philosophiquement Kimiko.

Kitsune soupira.

-Tu as peut-être raison, mais je ne suis pas prête pour le moment…

-Prends ton temps, si tu veux, la rassura Kimiko.

Kitsune regarda son amie puis sourit.

-Tu devrais être psychologue, lui dit-elle.

-Tu trouves ?

Kimiko prit un air sérieux et mima de noter sur un calepin. Kitsune éclata de rire et Kimiko en fit autant. Les jeunes filles enchaînèrent plaisanteries sur plaisanteries et du coup, le devoir de math fut vite oublié sur le bureau…

***
Plus tard, Kitsune dû rentrer alors elle salua son amie et retourna se poster à l’arrêt d’autobus tout en sortant son ticket. Elle monta dans le bus, déposa son billet dans la fente prévue à cet effet et alla s’asseoir sur un banc simple. Elle sortit son mp3 de sa poche et y mit une chanson au hasard. Elle tomba sur Pureness de Nana Ketade et la fit jouer. Appuyant sa tête contre la vitre, elle ferma les yeux et laissa la musique l’envahir.

Kizamareta mune no oku ai no akashi

Samayou meiro
Doko made yukeba
Tobira wa hiraku no
Nakushita hikari motomete

Rasen ni tsuduku
Kokoro no kioku
Tadotte bokura michibikareta

Kasaneta omoi nara
Nani mo muda ni nara nai
Nee kotae nante
Hitotsu ja nai kara

*Douka sorasazu ni
Mitsumete yo jibun wo
Yuuki no mukou no
Sunao sa ki ga tsuite

Tsumetai namida shimikomu tabi ni
Dore dake kimochi wo
Ooikakusu nara ii no

“Kodoku” ni jitto
Se wo muke nagara
Musunda kizuna shinjite kita

Kowareta negai demo
Itsuka katachi wo torimodosu
Wasure nai de
Hitori ja nai kara

Douka sorasazu ni
Kotaete yo jibun ni
Yowasa no mukou no
Tsuyosa wo te ni irete

Makka ni yureru sora
Shizuka ni uneru umi
Owara nai kono sekai de
Kagayaki tsudukeru

*Repeat

Osoreru mono nado
Mou nani mo nai no sa
Itami wo waratte
Hitasura tsuki susume

Kirisaite itsumademo hashiri nukete


Bien vite, elle s’endormit avec les paroles encore dans sa tête. Elle se réveilla bien plus tard et s’aperçut avec horreur qu’elle ne reconnaissait aucunement le quartier. Les maisons étaient plus comme des petits bungalows, plutôt pauvres. Elle était dans un quartier dangereux de la ville, le bas quartier. Elle demanda au chauffeur de la descendre au prochain arrêt et c’est donc avec un sentiment de peur qu’elle mit pied à terre. Elle tenta de se repérer, rien à faire. Cette fois, elle avait vraiment peur. À combien d’arrêts était-elle ? Sa maison était-elle loin ? Son père s’inquièterait en ne la voyant pas rentrer…Elle décida de marcher vers le nord plutôt que de rester planter là à paniquer. Elle n’avait pas fait trois rues qu’elle se sentait suivi. Elle jeta un bref coup d’œil derrière son épaule et aperçut 2 gars bien bâti de 19 ans chacun qui semblaient la suivre à bonne distance. Kitsune marcha plus vite mais elle fut rattrapée.

-Hey, où tu cours comme ça ? dit un des garçons.

-On est perdue, peut-être ? ajouta l’autre.

-N…Non, pas du tout ! répliqua-t-elle, tentant d’avoir l’air convaincante.

Ils eurent un petit sourire. Un sourire mauvais. Kitsune n’avait jamais eu aussi peur de toute sa vie.

-On pourrait te raccompagner, nous, insista le premier.

-Oui, on vient toujours en aide aux jeunes dames en détresse, dit le second.

-Non merci ! Je dois y aller ! refusa-t-elle, tremblante.

Elle avança de quelques pas mais l’un d’eux lui prit fermement le bras.

-Lâche-moi ! ordonna-t-elle.

-Où tu crois aller comme ça, hein ?! ricana-t-il, sans lâcher prise.

Cette fois, Kitsune paniquait. Elle tenta de se dégager. Elle se débattait et criait lorsqu’une mais se plaqua sur sa bouche. Elle essayait de les frapper mais en vain. Elle les entendait rire. Elle se mit à pleurer. Alors qu’elle sentit une main remonter son chandail, une voix retentit :

-Hey !! Vous la relâchez !

Bonjour les girlz!!! Voici mon 17 chapite qui m'a pris tant de temps à faire...enfin! voici la suite afin de savoir ce qui arrive avec la pauvre Kitsune...qui viendra à son secours? à qui est cette voix salvatrice? vous le saurez en lisant mon chapitre!!! Enjoy!

Chapitre 17

Ils s’arrêtèrent et se retournèrent pour voir qui leur tenait tête. Un garçon de 17 ans, cheveux longs attachés en queue de cheval les fixait d’un regard noir.

-Je répète : Vous la relâchez ! dit-il plus froid encore que la première fois.

-Qu’est-ce qu’il nous veut le jeune ? demanda l’un des gars.

-Premièrement, je vous signale que je n’ai que 2 ans de moins que vous, poursuivit le sauveur, et deuxièmement, je fais du kendo depuis 5 ans et du karaté depuis 10 ans.

Les agresseurs lâchèrent leur emprise sur Kitsune qui s’effondra à terre, terrifiée.

-C’est une menace ?! dit l’autre attaquant en haussant le ton.

-C’est vous qui le dites, répondit simplement l’adolescent avec un sourire.

-Te joues pas de nous ! cracha le premier type.

-C’est un petit malin ! ajouta le deuxième en souriant à son tour.

Les deux types s’approchèrent de lui et il prit une pose de défense. Ils se moquèrent de lui puis foncèrent. Grave erreur. Le premier arrivant à sa hauteur, le jeune lui envoya un coup de pied au ventre ce qui le fit se plier en deux sous la douleur puis, l’acheva d’un coup de coude dans le dos qui le fit tomber face contre terre dans la neige. Et de un ! Le second arriva à la charge. Le jeune évita son poing, le frappa dans les côtes, para un coup avec son bras et, d’un mouvement circulaire de la jambe, fit tombé l’assaillant à la renverse. Kitsune en était renversée. Moins de 3 minutes et c’était fini. Les deux types se relevèrent et tentèrent de riposter. L’adolescent se retourna et en frappa un au visage. Celui-ci se mit à saigner du nez et décida de battre en retraite. Le deuxième s’enfuit lui aussi avec son ami. Le jeune sourit puis se tourna vers Kitsune. Étant toujours à terre, il lui tendit sa main.

-Kukkii ? appela Kitsune, incertaine.

En le regardant mieux, elle remarqua qu’il n’avait pas les cheveux chocolat mais bien…mauves !!

-Non. Moi c’est Hiko…Hiko Karemichi.

Il l’aida à se relever.

-Merci beaucoup. Tu étais incroyable ! dit-elle, impressionnée.

-C’était un plaisir d’avoir pu être utile, répondit Hiko, Tu connais Kukkii ?

-Oui. Toi aussi ? demanda Kitsune.

-On habite sur la même rue, dit Hiko, Viens. Je vais te ramener chez lui.

-Merci.

Il lui sourit gentiment puis l’invita à le suivre. «Dieu soit loué, je suis tombée près de chez Kukkii !» pensa Kitsune.

-Dis-moi, commença Hiko, Qu’est-ce qu’une jolie fille comme toi fais dans un coin pareil, hein ?

-J’ai manqué mon arrêt…

-Ah…T’as sacrément de la chance que je sois passé par là, commenta Hiko, J’aime mieux pas imaginer ce que ces deux-là t’auraient fait.

-Moi non plus, dit Kitsune, J’ai eu la peur de ma vie.

-J’imagine.

Il y eut un moment de silence.

-On est arrivé, dit Hiko.

Ils s’étaient arrêtés devant une petite maison assez modeste aux briques grises et au toit brun. Le garçon aux cheveux mauves s’avança et cogna trois bons coups à la porte.

-Ouaaais ? dit une voix qui rassura Kitsune.

-Salut ! J’ai trouvé ta petite amie dehors, dit Hiko.

-Hein ? Quelle petite amie ? s’étonna Kukkii en ouvrant la porte, J’ai pas de petite…

Hiko s’écarta et Kukkii pu en effet voir à sa plus grande surprise Kitsune.

-Kitsune ?! Qu’est-ce que tu fous là ?! s’exclama-t-il.

-Euh…salut, Kukkii…se contenta-t-elle de répondre, mal-à-l’aise.

-Bon, ben moi je vais vous laisse, dit Hiko en s’en allant, On se voit au kendo, Kukkii !

-Ouais ! Merci a+, ajouta Kukkii avant qu’il ne puisse plus l’entendre.

Il l’a fit entrer dans l’entrée et lui enleva son manteau. Puis, il se retourna et la fixa un moment.

-Veux-tu me dire ce que tu fais par ici ?

-Je me suis perdue, j’ai manqué mon arrêt en revenant de chez Kimiko. Et si ça n’avait pas été de Hiko, je crois bien que je me serais fait agressée.

-Quoi ?! Tu vois, c’est une raison pour laquelle tu ne devrais pas être ici.
C’est à ce moment que Kukkii remarqua qu’elle avait pleuré et qu’elle était en état de choc. Il se détendit.

-Bon, c’est pas grave, j’ai une idée:Tu vas appeler ton père pour le rassurer, on va te garder à souper et tu viendras à la pension avec nous ce soir, d’accord ?

Elle hocha la tête et essuya de sa manche ses yeux rougis. Dans un élan de sympathie, Kukkii la prit dans ses bras et la serra fort contre lui.

-Ça va aller, maintenant. Tout va bien, ok ? Alors tu vas me faire le plaisir de sourire comme avant.

Sur ce, elle força un sourire. Satisfait, il lui prit la main et l’entraîna dans la cuisine où son père était assis et écoutait les nouvelles à la télévision. Assez grand, un peu gras, cheveux bruns grisonnants, il devait avoir fin trentaine. Une bière à la main, il se détourna du poste de télévision pour voir qui son fils voulait lui présenter.

-Bonjour M. Mizurewa ! dit poliment Kitsune.

-P’pa, Kitsune va rester à manger et on partira à la pension ensemble, ok ?

Son père fixa longuement la jeune fille, l’étudiant de la tête au pied, puis il hocha la tête et retourna se planter devant l’écran en lâchant «Bonjour» par-dessus son épaule. Puis, Kukkii fit asseoir Kitsune au salon.

-Je reviens, lui dit-il en grimpant l’escalier.

Elle l’entendit appeler Chokoreto pour lui faire part de sa présence. À la seule prononciation du nom de son amie, Chokoreto se rua en bas et sauta sur Kitsune pour l’étreindre avec force.

-T’es venue nous faire une petite visite ? demanda-t-elle.

-Euh…pas vraiment…

-Mais alors ? Tu fais quoi ici ?

Kitsune soupira.

-Je te raconterai une autre fois, dit-elle.

Ils se mirent à table et le père de Kukkii apporta des assiettes et déposa un carton de pizza au centre de la table.

-Servez-vous, les jeunes, dit-il simplement en prenant place au bout de la table.

Ce qu’ils firent. Puis, Aki, le père de Kukkii et Chokoreto, s’adressa à Kitsune :

-Alors, l’école, ça va ? Des bonnes notes ?

-Ouais assez, répondit-elle.
-Tu as beaucoup d’amis ? demanda-t-il.

-Oui, dont Kukkii et Chokoreto…

-J’imagine que tu fais partie du groupe ? dit froidement Aki.

-Euh…oui, répondit Kitsune, frappée par le ton.

-Kukkii en parle souvent…maudit groupe...lâcha-t-il.

-P’pa ! s’exclama Kukkii.

-Tu sais fort bien ce que j’en pense ! Ça ne vous mènera nulle part dans la vie ! s’écria-t-il, C’est une perte de temps !

-J’ai pas l’intention de juste faire ça dans la vie, tu sais ?! rétorqua Kukkii.

-Pourquoi tu ne te concentres pas sur tes études, hein ?! Mais non, monsieur pense que la musique c’est mieux ! poursuivit Aki.

-Y’en a marre c’est comme ça à tous les coups ! Faudra que tu t’y fasses parce que je suis loin de quitter ce groupe ! se défendit Kukkii.

-Toi et tes crétins d’amis de groupe ! ajouta son père, puis il se tourna vers Kitsune, J’espère que tu ne comptes pas sur le groupe pour vivre !!

-Ne la mêle pas à ça, okay ?! dit Kukkii avant qu’elle n’ait pu répondre.

-Je fais ce que je veux dans ma maison ! trancha Aki.

Le reste du repas se fit en silence et la tension y était palpable. Puis, Aki se leva et alla déposer son assiette sur le comptoir. Il se retira au salon, attrapa une bière et s’écrasa sur le sofa devant la télévision. Chokoreto ramassa les assiettes sur la table et insista pour faire la vaisselle malgré les protestations de Kitsune qui voulait aider.

-Dis Kukkii, je peux voir ta chambre ? demanda Kitsune en abandonnant la cuisine.

Celui-ci se retourna et hésita un long moment avant de répondre :

-Euh…ooouaais…tu me donnes 2 minutes pour ranger ?

Elle hocha la tête et il grimpa l’escalier à la vitesse de l’éclair. Kitsune monta, elle, lentement l’escalier et, arrivé au bout du couloir, poussa la porte. La pièce était grande et chargé de meuble tassé sur le mur du fond. Il y avait 1 mur rouge et trois murs noirs. Du linge était éparpillé par terre et ses devoirs traînaient sur les meubles. Sa guitare était dans son étui, adossée contre le mur. Kitsune vit Kukkii ranger rapidement quelque chose dans le garde robe puis en refermer la porte prestement. Elle demanda à Kukkii de lui jouer un morceau et il accepta. Puis, il fut l’heure de rentrer à la pension. Chokoreto donna un billet de bus à Kitsune et tous les trois se rendirent vers l’arrêt. Kitsune arriva à la pension et salua Satoshi. Puis elle monta se coucher. Mais quelque chose la perturbait. Kukkii. Il avait caché un truc. L’objet en question était une bouteille. Kitsune crut à une hallucination lorsqu’elle avait vu sur l’étiquette : Scotch Whisky. Elle avait dû mal lire, c’est tout…
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Encore une fois, personne ne réponds...j'ai l'impression de monologuer et je hais ça!!! Bordel, ce forum est mort ou c'est ma fic qui est tellement nulle que personne vient?! Enfin, merci à Daph qui est la seule à se préoccuper de lire la suite...Daph je t'aime!!! Alors juste pour toi:

Chapitre 18

Le lendemain, un lundi (vous savez, le lundi où Shade et Nox prennent le bus ? Bon, ce lundi-là. Je sais on reviens loin mais bon.), Kitsune se réveilla en repensant aux événements de la veille. L’agression, l’engueulade avec Aki, la bouteille d’alcool…Elle s’habilla en chassant ses mauvaises pensées et en reprenant sa joie habituelle. Elle sortit de la chambre et rentra en plein dans Tenshi. Celui-ci échappa un livre d’où tomba une feuille de papier. Kitsune se pencha pour la ramasser et put lire :

Tes yeux azurés
d’un bleu si profond qu’on pourrait s’y noyer
Tes cheveux de blé
où glissent tes doigts de fée
Ton visage d’ange
pour lequel je flanche
Ton divin sourire
que je souhaite ne jamais voir mourir
Ses simples mots en hommage à ta beauté
expriment ce que je n’ose te révéler
Quand je te voie, mon cœur qui bat
évoque l’amour que j’ai pour toi

Ton Ange

-Re…Rends-moi ça !! s’empressa-t-il de dire en lui arrachant le papier des mains.

Son visage était complètement rouge alors qu’il disparut dans le couloir. Kitsune afficha un grand sourire en se demandant à qui pouvait bien être destiné se message quoi qu’elle y eut déjà sa petite idée…(n’est-ce pas Daph ?) Kitsune sortit dans le couloir à son tour et Satoshi vint à sa rencontre.

-Eh ben, pourquoi il est parti si vite, Tenshi ? demanda-t-il.

-Oh…pour rien…répondit Kitsune en réprimant un sourire.

-Mouais, je te crois…dit Satoshi, suspicieux.

Ils allèrent déjeuner avec les autres : Chokoreto, Kukkii et Tenshi qui étonnamment ne parla pas du repas et reprit lentement son teint pâle.

***
La cloche du midi sonna et Kitsune croisa Satoshi dans le couloir menant au Café-Théâtre, un endroit où les élèves pouvaient mangé et où se passait habituellement les cours de théâtre. C’est alors qu’elle lui posa la question qu’elle avait en tête depuis quelques temps :

-Qu’est-ce que tu fais en fin de semaine ?

-Rien en particulier…pourquoi ?

-Je peux venir chez toi ?

-NOOOON !!!! cria-t-il soudain.

Kitsune fut tant terrifiée par le cri qu’elle se figea. Satoshi remarquant qu’il venait de crier sa réponse se rattrapa :

-Je veux dire…euh…je suis pas sûr que je peux…inviter quelqu’un…à venir…tu sais…

Kitsune le regarda incrédule.

-Mais je vais voir ce que je peux faire ! dit-il en riant nerveusement.

-Euh…d’accord…tu te sens bien ? demanda-t-elle.

-Oui oui, très bien…désolé pour le cri…

Il attrapa son lunch et prétexta devoir aller à une réunion de maths. Kitsune resta plantée là, ne comprenant toujours pas ce qui venait de ce passer. Quelques personnes s’étaient retourner pour voir qui avait crié pour avaient reporté leur attention sur leur repas.

Le dernier cours de l’après-midi était espagnol au 3 étage. Kitsune était assise en avant de la classe et s’ennuyait à mourir. Ce cours-ci était une révision pour l’examen à venir. La professeur en vint alors à poser cette question :

-¿ Quien conoce el presente progresivo ?

Kitsune fut seule à lever la main. La professeur exaspérée lui accorda la parole.

-El presente progresivo es cuando hablamos del momento presente. Por ejemplo : estoy cantando o estoy escribiendo.

-Bien, perfecto.

Kimiko lui murmura :

-Wouah ! Bollée !

Kitsune sourit et rétorqua :

-Non, c’est juste que moi, j’écoute en classe.

Et la professeur changea de sujet d’examen et le cours continua.